Mon résumé
: Suzie Baker et son
guide Shamir escaladent le Mont-Blanc. 50 ans après le crash d'un
avion d'une compagnie aérienne indienne, la jeune femme trouve enfin ce
qu'elle semblait chercher : un sac postal contenant un
courrier diplomatique. Ce document pourrait permettre à Suzie de
rendre justice à sa grand-mère accusée de haute trahison puis abattue
aux Etats-Unis. Mais cette découverte compromettante
réveille les réseaux parallèles des services secrets américains.
Fasciné par sa rencontre avec Suzie Baker, Andrew Stilman, grand reporter au New York Times, mène une enquête devenue indispensable à la survie de la jeune femme.
Traqués, manipulés, Suzie et Andrew devront déjouer pièges et illusions jusqu'à toucher du doigt l'un des secrets les mieux gardés de notre temps.
Fasciné par sa rencontre avec Suzie Baker, Andrew Stilman, grand reporter au New York Times, mène une enquête devenue indispensable à la survie de la jeune femme.
Traqués, manipulés, Suzie et Andrew devront déjouer pièges et illusions jusqu'à toucher du doigt l'un des secrets les mieux gardés de notre temps.
Mon avis : Pour moi, ce livre n'a pas évoqué un sentiment plus fort que la peur mais plutôt un sentiment plus fort que
l'ennui! Déjà peu emballée par le tome précédent des aventures d'Andrew Stilman ("Si c'était à refaire")
je me demande encore pourquoi j'ai persisté. Je me rends compte que des
5 livres que j'ai lus de l'auteur, je n'en ai apprécié qu'un seul : "Le voleur d'ombres".
L'idée de départ du livre est basée sur un fait réel : la découverte
50 ans après le crash d'un avion d'une sacoche postale contenant un
courrier diplomatique. L'idée de s'inspirer d'un fait réel
comme point de départ est bonne mais trop rapidement l'intrigue mêle
politique, problèmes gouvernementaux et aussi (et là, je me demande
pourquoi) des problèmes environnementaux. (Les
problèmes politiques ce n'est vraiment pas ma tasse de thé)
Nous retrouvons donc Andrew Stilman toujours autant
dépressif et accro aux Fernet-Coca. Après avoir quitté sa femme, il
habite chez Simon son meilleur ami. Sa dépression le fait
stagner sur le plan professionnel et depuis son enquête en
Argentine, il n'arrive plus à produire un travail intéressant pour sa
directrice. Alors, lorsqu'il rencontre Suzie dans une
bibliothèque, il est fasciné par cette jeune femme et tente de
percer son mystère... Il a donc malgré lui trouvé le thème de sa
prochaine enquête. Mais la découverte d'un complot international
mettra leurs vies en jeu.
Suzie Baker est une femme intelligente et très
déterminée. Elle ne se laisse pas faire et va jusqu'au bout de ce
qu'elle entreprend. Plutot jolie, elle est indépendante, têtue et
très forte. Elle va tenter par tous les moyens de laver l'honneur de
sa grand-mère Liliane et par la même occasion celui de sa mère
Mathilde.
Dès le début, à l'évocation du titre je pensais que le sentiment
plus fort que la peur allait être l'amour, et même, certainement l'amour
entre Suzie et Andrew. Mais, en fait, le sentiment plus
fort que la peur est le courage. Car il va falloir beaucoup de
courage à Suzie pour affronter le complot international qu'elle va
découvrir.
A noter que toutes les informations mentionnées dans le livre comme
par exemple la destruction massive de la banquise à des fins
commerciales sont vraies.
Ce livre peut être lu indépendamment de "Si c'était à refaire", mais,
je ne le conseille qu'aux fans de l'auteur.
A lire aussi :
Le voleur d'ombres
Le premier jour
La première nuit
Si c'était à refaire
Editions Robert Laffont - Thriller - Littérature contemporaine - 440 pages
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